Mes premières amours de cinéma, c'est aux films d'animation que je les dois. La poésie du dessin animé est incomparable à mes yeux. J'ai ensuite élargi mes perspectives et ai découvert à quel point le champ du septième art était vaste et beau. Mon envie de films ne s'est jamais tarie. J'en ai vus et je continue d'en voir autant que je peux, car, au-delà d'être un divertissement, le cinéma façonne ma manière de voir le monde.
Barbet Shroeder nous montre la face sombre d'une religion basée sur la tolérance ; quand le bouddhisme devient synonyme d'intolérance et d'épuration ethnique...
Sexe, comédie déjantée et violence télévisuelle, voilà le cocktail explosif que propose Pedro Almodóvar avec Kika. Ce film nerveux assorti d'une galerie de personnages cinglés affiche t-il une cohérence suffisante pour intéresser ses spectateurs tout au long de son intrigue ?
Un remake live de l'animé culte Ghost in the shell ? Comment s'emparer d'une telle matière et proposer une adaptation qui tienne la comparaison à l'oeuvre originale ? Rupert Sanders a proposé une réponse.
Tempête de sable est le premier long-métrage de la réalisatrice israélienne Elite Zexer. A l'image de ce qu'elle a fait dans ses précédents courts-métrages, elle s'intéresse aux rapports sociaux au sein d'une communauté et y questionne la place des femmes.
Corniche Kennedy raconte l'histoire d'un groupe d'adolescents qui défient la loi de la gravité en sautant du haut de ladite corniche dans les calanques de Marseille. Avec ce film, Dominique Cabrera livre un portrait plein de justesse d'une jeunesse indocile irradiée de soleil.
Louise en hiver est le nouveau film de Jean-François Laguionie. Après le Tableau, le cinéaste propose ici une œuvre plus intime avec le portrait délicat de cette vieille dame qui au crépuscule de sa vie revient sur ses souvenirs.
Swagger, le deuxième long-métrage d'Olivier Babinet est un film hybride mêlant sans complexe différentes influences venant indistinctement de la fiction ou du documentaire. Le résultat est une œuvre poétique et politique au contenu exigeant.
Icare, qui préfère qu'on l'appelle Courgette, vit avec sa mère alcoolique jusqu'à ce que celle-ci décède accidentellement. Il se retrouve au foyer des Fontaines avec d'autres enfants qui n'ont pas eu de chance dans leur vie. Au milieu de ce petit groupe il apprend de nouveau à aimer et être aimé.