Clémentine Chérie, un film de Pierre Chevalier: Critique
Il est des plaisirs de cinéphiles que l'on ne peut se refuser. Le cinéma français des sixties regorge de petits trésors oubliés....
Curieux de nature et grand amateur de culture en générale,je tiens ma passion du cinéma de ces deux atouts.J'ai très tôt compris que cet univers pourrait combler ma soif de découvertes et je n'ai jamais cessé depuis d'aller puiser mon insatiable envie dans le monde merveilleux du 7ème art.Quelle autre forme artistique réunit mieux que celui ci toutes les affinités culturelles et permet de voyager dans le monde entier à la recherche de multiples identités ethnographiques et sociales?C'est aussi et surtout la formidable expression d'une ouverture d'esprit.Comme tout cinéphile qui se respecte,je suis attiré par les plus grands cinéastes et les plus grands classiques mais j'aime aussi aller à la rencontre de nouveaux horizons.Je pourrais donc citer Terence Malick,Sean Pen,Jane Campion,Lou Ye,Jia Zhang Ke,Jean Luc Godard ou Mathieu Amalric parmi mes références ultimes mais elles seraient beaucoup trop réductrices quand aux infinies possibilités qu'il m'est donnée d'avoir pour exprimer toute ma passion envers cette cinématographie.